Et si l’Europe changeait sa décision concernant l’interdiction de vente de voitures thermiques neuves en 2035 ? Une vraie possibilité !
Pour 2035, la Commission européenne a décidé d’interdire la vente de voitures thermiques neuves. Seulement, réalité économique est très différent. A tel point que le plus grand groupe politique européen aimerait revenir à cette décision.
Un changement à venir ?
L’interdiction vendre des voitures thermiques neuves en 2035 a été officiellement adopté l’année dernière. Depuis cette décision, de nombreuses associations ont dénoncé cette mesuresurtout d’un point de vue économique.
Il faut dire que ventes des voitures électriques sont de plus en plus faibles, ce qui met à mal de nombreux acteurs du secteur. industrie de l’automobile. A tel point que nos confrères de Reuters viennent de révéler des informations surprenantes.
Le PPE, ou le groupe de la présidente Ursula von der Leyen, souhaite revenir sur la mesure selon laquelle il est interdit de vendre nouvelles voitures thermiques en Europe à partir de 2035.
Plus précisément, le plus grand groupe politique du Parlement européen veut revenir sur cette mesure en gardant les voitures avec un carburant alternatif mais aussi des véhicules hybrides rechargeables. En fait, le groupe souhaite donc toujours interdire les voitures thermiques et les voitures hybrides utilisant des combustibles fossiles classiques.
La norme CAFE reportée à 2027 ?
Mais le PPE, le groupe du président de la Commission européenne, veut également abaisser les normes CAFE. Pour rappel, cette réglementation impose aux constructeurs de vendre des voitures électriques depuis 2025 afin de respecter un seuil environnemental.
Si les constructeurs ne respectent pas ce seuil, ils souffriront de grosses amendes. Une décision que les différentes marques ont critiquée tant il est désormais difficile de vendre des véhicules électriques.
En fait, le PPE souhaite changement la mise en place de quotas de CO2 prévue pour 2025 pour l’année 2027. Cela pourrait être une bouffée d’air frais pour les constructeurs qui ont continué à militaire contre cette mesure.
Un renversement situation assez surprenante quand on sait le poste base de ce groupe et de son président. Il est clair que difficultés financières les constructeurs automobiles avaient raison ambitions environnementales. Reste à savoir jusqu’où ira cette volonté du PPE.
Quoi qu’il en soit, cette information confirme la tendance actuelle où les acteurs de terrain commencent à faire machine arrière mobilité électrique.