Partenaire des constructeurs automobiles comme Stellantis et Toyota, Novares a tourné la page de l’incendie qui a détruit son usine de Zebrak (République tchèque). L’équipementier a repris ses activités sur un site ouvert à Cerhovice.
Pierre Boulet, président de Novares (centre), a inauguré l’usine de Cerhovice en compagnie des cadres du groupe et du site tchèque. ©Groupe Novares
Le groupe Novares a inauguré sa nouvelle usine à Cerhovice, en République tchèque. Un événement qui s’est déroulé le 18 décembre 2024 en présence du président, Pierre Boulet. Une structure qui joue un rôle important dans l’organisation de l’équipementier automobile.
Cet investissement a été réalisé suite à l’incendie qui a ravagé l’usine de Zebrak il y a quelques mois. Cela prouve l’intérêt que Novares porte à la République tchèque. Et pour cause, cette ligne de production fournira des pièces intérieures, extérieures et moteur à Stellantis, Toyota, BMW et Tesla, clients locaux historiques du groupe.
« La naissance d’une nouvelle usine, remplaçant celle détruite par un incendie, témoigne de la capacité d’adaptation de notre entreprise, tel un phénix renaissant de ses cendres.« , a commenté Pierre Boulet.
Un chantier réalisé en sept mois
Novares occupe désormais un bâtiment de 20 000 m22. Depuis son ouverture, l’usine de Cerhovice compte 250 salariés. En seulement sept mois, l’équipementier a aménagé l’espace pour accueillir 32 machines d’injection et 5 lignes robotisées, entre autres pour suivre les rythmes imposés par les constructeurs.
Pour mémoire, l’équipementier automobile français s’est déployé dans 22 pays. Elle exploite, entre autres, 37 usines de production, 6 centres d’expertise et 7 centres techniques. Novares générera environ 1,1 milliard d’euros de chiffre d’affaires en 2024.
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