Une étude récente révèle que de nombreux propriétaires de voitures électriques envisagent de revenir aux véhicules à combustion, invoquant des problèmes d’infrastructure.
Bureau McKinsey & Compagnie récemment révélé sa plus récente étude. Cela révèle que les conducteurs qui ont opté pour une voiture électrique a partagé la principale raison qui les incite à revenir aux véhicules thermiques. Voici cette raison.
30% des conducteurs envisagent de revenir au thermique
La mobilité électrique est un miser majeur pour l’industrie automobile. Les gouvernements et les fabricants cherchent à encourager l’adoption publique de cette technologie. Toutefois, la situation est plus complexe. Les ventes ne sont pas aussi élevées que prévu et certaines marques envisagent reviens. Dans ce contexte, le cabinet McKinsey & Compagnie a récemment diffusé un nouvelle étude sur le sujet. Cela révèle que les propriétaires des voitures électriques envisagent de revenir aux véhicules thermiques pour leur prochain achat. Cela concerne 30% des utilisateurs de voitures électriques, un chiffre significatif. Ils soulignent principalement manque d’infrastructuresnotamment le nombre insuffisant de bornes de recharge dans le monde, qui donne lieu à préoccupations. De plus, autonomie du véhiculejugé insuffisant, est un autre facteur de préoccupation.
Quelle est la situation en France ?
Concernant la France, il est essentiel de rappeler l’objectif fixé pour 2030 : le gouvernement ambitionne d’installer 400 000 bornes de recharge. Actuellement il y a 120 354 points de rechargece qui équivaut à 179 pour 100 000 habitants. Le principal problème réside dans répartition inégale des terminaux. La majorité se trouve en Île-de-France, laissant certaines régions sans infrastructures adéquates. Ce problème est également présent en Europe. La Commission européenne estime qu’elle devrait 3,5 millions de terminaux d’ici 2030 pour réussir la transition énergétique, soit 8 000 de nouveaux terminaux par semaine, un objectif difficile à atteindre. La Cour des comptes européenne a conclu que la réalisation de l’objectif de 2035 nécessiterait un investissement financier important de la part du États membresce qui semble peu probable à l’heure actuelle.